LE POINT INITIAL (14/12/2022)
Situation générale
La situation de la France géographiquement est à l’Ouest de l’Europe. Elle dispose de frontière terrestre avec sept pays alliées et qui ne présente pas de menace. Elle dispose aussi de la deuxième zone économique exclusive qui couvre tous les océans. La géographie fait que les menaces ne se trouve pas directement pour l’instant sur nos frontières et nécessite du pays la projection de nos forces militaires.
La France en politique internationale est liée à l’alliance Atlantique et a l’Union
Européenne. Elle est signataire d’un certain nombre d’accord de défense et de
sécurité avec des partenaires dans le monde entier en raison de sa situation
géostratégique et historique. EN 2008, le président Sarkozy définissait un arc
d’intervention française qui passe par
l’Afrique subsaharien et qui remontait jusqu’au Golfe Persique. Mais déjà à cette
époque, l’intervention en Afghanistan rend cette vision trop juste. C’est pour
cela que nous avons effectué divers exercice de projection de puissance en
projetant des navires et des forces aérienne en Asie du sud Est ou sur le
continent Australe.
La France est
économiquement tournée vers la mondialisation. Elle a vu la part de son
industrie diminué au profit de métiers de services. Elle garde des domaines
d’excellences dans le nucléaire, dans l’aéronautique, l’agriculture et la chimie. Mais ses avantages sont menacé par
de la concurrence au sein de l’Europe ou à l’internationale. Elle ne dispose
pas d’autonomie énergétique et la mondialisation là rendu dépendante de ses
importations. Sa fiscalité est dirigé en priorité vers le sociale et
l’investissement de défense ne représente que 2% du PNB. L’industrie militaire représente presque la moitié des exportations
du pays principalement dans le domaine aéronautique.
La population française a subi de grands changements
sociétaux. Nous sommes passés d’une société collective à une société de l’individu.
Cela se cumule avec une immigration non contrôlé, un affaiblissement des
valeurs religieuses et patriotique. La population française est fortement divisée
et cloisonnée géographiquement et
culturellement. Il n’existe pas une forte cohésion nationale. Les voix des politiques
n’encensent pas la nation mais plutôt un
discourt européen qui tire ces dernières années vers la fédéralisation de l’Europe.
De plus, l’amélioration de la qualité de vie a changé le
rapport à la mort dans la société. Avec un éloignement des menaces, les
citoyens ont une faible acceptation de la perte de la vie humaine. Les médias s’appuient
sur ce fait pour porter une contrainte au choix politique. Les engagements de
la France après la chute du mur en 1989 ont changé et se sont tournée vers la défense
du droit internationale. Cela a aussi expliqué le choix de professionnaliser l’armée.
La notion de métier des armes a transformé
l’engagement des soldats qui se trouve plus dans une position de salarié de l’armée
que de défenseur de ses valeurs.
Mais la fin du monde unipolaire et l’infirmation d’autre
valeur dans le monde risque de mettre fin à ce mode à ce système. La lutte pour
la domination du monde qui était impossible
avant en raison de la suprématie américaine et occidentale est remise en cause
aujourd’hui. Le retour des nations et d’un certain impérialiste crée un monde
multi culturaliste dangereux. Un retour des conflits pour défendre nos intérêts
voir notre territoire redevient possible. La guerre conventionnelle redevient
un mode de langage entre état.
Nos besoins
Le retour de la conflictualité
La France se trouve dans une situation ou le retour de la
conflictualité mets nos forces dans une situation de « perplexité
stratégique ». Le risque d’un conflit inter étatique nécessite de la
nation un effort financier et humain qu’il est actuellement difficile de soutenir.
Les menaces n’étant pas défini de manière clair, il est difficile de définir
une stratégie efficace répondant à la menace. La haute intensité est une forme
de conflit touchant tous les spectres de la conflictualité matériels comme
immatériels dans les espaces solides comme liquides. Il demande à la nation des
investissements important pour couvrir l’ensemble des spectres. De plus, la
haute intensité impose de disposer de réserve matérielle et humaine importante.
Le renouvellement des unités engagé par des unités formées et équipées
nécessite un investissement dans les hommes et des stocks important et
régulièrement renouvelé.
Le dilemme est que la
décennie qui vient risque fort de voir des conflits éclaté. Le retard pris par
les pays européens et la faiblesse américaine est propice au déclanchement de
confrontation. Le retour du multipolaire va engendrer des lignes de
conflictualité ou nos intérêts stratégiques seront menacés. Il y a forte chance
que nous soyons engagés dans des conflits périphériques contre des
insurrections armées doté d’armement complexe. Le choix stratégiques alors
d’investir dans des forces nombreuses tournée vers la haute intensité risque d’être
un cul de sac stratégique et financier.
Le choix Français actuellement consiste à résoudre les
problèmes des moyens humains et techniques par la coopération avec nos
partenaires. Mais la complexité des accords et de l’engagement dans une
coalition peu nous laisser désarmer face
à certaine menace en particulier sur la défense de nos espaces ultramarins ou
nous intérêts stratégiques propre.
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